Le plan 10 000 jeunes, c’est quoi ?
Le plan 10 000 jeunes offrira au niveau national plus de 10 000 stages, contrats d’apprentissage et autres opportunités à des collégiens de troisième, lycéens, apprentis et aux étudiants jusqu’à 26 ans (30 ans pour les personnes en situation de handicap dans le cadre des services civiques) et ce, dès les prochaines semaines jusqu’à la fin de l’année scolaire 2021/2022.
Nous nous engageons à vous proposer des offres attractives dans les services de police, les casernes de gendarmerie, les unités de sécurité civile, à la préfecture, les sous-préfectures et dans tout service départemental qui dépend du ministère de l’Intérieur.
Pour qui ?
Ces opportunités ont vocation à bénéficier aux jeunes les plus confrontés aux grandes difficultés d’insertion dans la sphère professionnelle, notamment dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville. En cela, ce plan participe de la politique d’égalité des chances du ministère de l’Intérieur.
Collégiens, lycéens, futurs apprentis comme étudiants, jeunes bacheliers… vous pouvez bientôt en bénéficier et découvrir ainsi des métiers riches dans des domaines très variés : informatique, mécanique, communication, contact avec les usagers, logistique, etc.
Ces expériences amorceront la découverte du monde du travail mais inscriront également les bénéficiaires de ces stages et contrats dans une logique de professionnalisation et de montée en compétences grâce aux missions confiées.
Quels sont les dispositifs proposés ?
Où trouver ces offres ?
Les premières offres départementales seront prochainement accessibles sur notre site
Un contact dédié permettra le dépôt des candidatures, qui apparaîtra au même endroit.
Didier Martin, préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique annonce le lancement de la concertation préalable sur le projet d’abrogation de la directive territoriale d’aménagement (DTA) de l’estuaire de la Loire à compter du 15 février 2021.
Communiqué de presse (format pdf - 93 ko - 05/02/2021)
Lien vers la concertation préalable.
La première phase de cette campagne consistait depuis septembre 2019 à mettre à disposition les comprimés d’iode dans les pharmacies partenaires pour les 2,2 millions de personnes et plus de 200 000 établissements, entreprises, écoles, administrations, etc. sur tout le territoire.
Dans le Maine-et-Loire, plus de 55 000 particuliers répartis sur 24 communes et plus de 1 700 établissements situés à proximité de la centrale de Chinon sont concernés par cette campagne.
Dès février, les comprimés seront adressés par voie postale à 600 000 foyers identifiés ne les ayant pas retirés en pharmacie.
Les ERP [1] n’ayant pas effectué la démarche ainsi que les nouveaux arrivants des communes concernées sont invités à les retirer dans les pharmacies partenaires. Ils pourront effectuer leur retrait sur simple présentation d’un justificatif de domiciliation, de capacité d’accueil du public et/ou du nombre de salariés.
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Pour connaître les pharmacies participantes à cette opération, consultez la liste disponible sur le site www.distribution-iode.com à la rubrique « Les comprimés d’iode ».
La prise d’iode : une démarche préventive en cas d’accident nucléaire
Les campagnes de distribution des comprimés d’iode ont lieu régulièrement depuis 1997 et concernent les personnes qui résident ou travaillent à proximité d’une centrale nucléaire.
Organisées par les pouvoirs publics (services de l’Etat et EDF, propriétaire des centrales nucléaires) ces campagnes ont pour objectif la mise à disposition des populations riveraines des centrales nucléaires des comprimés d’iode stable permettant de protéger leur thyroïde en cas de rejet accidentel d’iode radioactif dans l’atmosphère.
En cas d’accident nucléaire, la prise de comprimés d’iode stable protège la thyroïde de l’iode radioactif qui pourrait être rejeté dans l’environnement. La thyroïde va absorber l’iode stable jusqu’à saturation, et ne pourra donc plus assimiler l’iode radioactif qui serait éventuellement respiré ou ingéré. Les comprimés d’iode doivent être administrés en situation accidentelle et uniquement sur instruction des autorités.
Pour rappel, les réflexes en cas d’alerte nucléaire sont :
Pour aller plus loin :
Centrale de Chinon : campagne de distribution préventive de comprimés d’iode stable